L’étoffe d’un gardien (je ne plante pas que des fleurs … Je sais aussi me les jeter)
Sans pouvoir faire appel à
quelqu’un que j’avais imaginé plus compétent que moi dans le domaine de la
maçonnerie, il a tout de même fallu que j’expérimente la chose avant que le
mur/ côté portillon ne finisse par se séparer en deux et s’effondrer.
Deux bombes de mousse
polyuréthane pour combler les profondeurs inatteignables et
la découverte d’un vieux paquet
de ciment à fabriquer soi-même ont eu raison de ma pugnacité ou de mon
inconscience.
Une autosatisfaction qui
autorise désormais de nouvelles et palpitantes rénovations.
Fin mars / début avril,
nous avons connu un temps absolument estival et l’absence de vent m’a permis de
commencer à repeindre les marquages des places de parking.
Une initiative interrompue par
la tempête de sable.
Aujourd’hui les pluies
reviennent et j’attendrai leur départ ainsi que celui des frêles et majestueux
Iris pour continuer à redonner une seconde jeunesse aux murs, escaliers et
rebords de fenêtres de la résidence. Un travail commencé depuis le début du
confinement.
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