Le déluge du siècle
Le 1er avril
me proposa une plaisanterie qui n’en fut pas exactement une de très bon goût …
En effet, une tempête de
sable surgit de nulle part a enseveli tous les massifs.
De mémoire d’autochtone,
ce phénomène n’avait encore jamais été connu.
Quel désarroi devant ce
spectacle dunaire !
Il m’aura fallu plus d’une
semaine pour en venir presque à bout … Puisque ce dernier samedi je me
surprenais à évacuer encore du sable.
Je devais pourtant
prendre ma revanche et faire en sorte que les massifs deviennent encore plus
beaux qu’avant le déluge.
Et pour cela, j’ai dû
aspirer chaque grain, utiliser la balayette, la brosse à dent (j’exagère à
peine) et réinventer de nouveaux espaces de plantation.
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